Viard Jean-Louis

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Format -

Hauteur

44 cm596 cm44 cm80 cm98 cm115 cm129 cm145 cm160 cm175 cm191 cm208 cm229 cm248 cm292 cm

Largeur -

33 cm870 cm33 cm83 cm101 cm115 cm135 cm160 cm178 cm197 cm213 cm237 cm275 cm315 cm462 cm

Price -

  • L'oeil ébloui

     
    Tapisserie tissée par l’atelier Clochard. Avec son bolduc signé de l’ artiste, n°1/6. Circa 1980.
     
    Graveur de formation (Prix de Rome de la gravure en taille douce en 1942), Jean Louis Viard réalise ses premiers cartons au milieu des années 50. D’abord figuratif (il travaille alors avec Picart Le Doux), il emprunte ensuite la pente naturelle de nombreux peintres -cartonniers (la même que Matégot, Tourlière ou Prassinos,…) en évoluant vers l’abstraction. Il réalise des dizaines de cartons jusque dans les années 2000, parallèlement à son travail de peintre et graveur, mais en manifestant intérêt particulier pour les matières et les textures, à l’instar des partisans de la «Nouvelle Tapisserie» dont Pierre Daquin, qui le tissa, fut l’un des protagonistes majeurs.   Ses thèmes, parfois métaphysiques (« Mémoires », « Destins »,….) brassent larges, de l’infini astronomique (« ténèbres solaires »), au minuscule cellulaire (« Mutation végétale ») : une œuvre profuse et variée en somme, régulièrement exposée à la Demeure, dans divers salons ou expositions particulières, et plus significativement au salon Comparaison dont il fut le responsable de la section Tapisseries.
  • Soleils éteints

    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Pinton. Avec son bolduc signé de l’ artiste, n°1/6. 1967.
    Graveur de formation (Prix de Rome de la gravure en taille douce en 1942), Jean Louis Viard réalise ses premiers cartons au milieu des années 50. D’abord figuratif (il travaille alors avec Picart Le Doux), il emprunte ensuite la pente naturelle de nombreux peintres -cartonniers (la même que Matégot, Tourlière ou Prassinos,…) en évoluant vers l’abstraction. Il réalise des dizaines de cartons jusque dans les années 2000, parallèlement à son travail de peintre et graveur, mais en manifestant intérêt particulier pour les matières et les textures, à l’instar des partisans de la «Nouvelle Tapisserie» dont Pierre Daquin, qui le tissa, fut l’un des protagonistes majeurs. Ses thèmes, parfois métaphysiques (« Mémoires », « Destins »,….) brassent larges, de l’infini astronomique (« ténèbres solaires »), au minuscule cellulaire (« Mutation végétale ») : une œuvre profuse et variée en somme, régulièrement exposée à la Demeure, dans divers salons ou expositions particulières, et plus significativement au salon Comparaison dont il fut le responsable de la section Tapisseries. Provenance : atelier de l’artiste
  • Destins

    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Glaudin-Brivet. Avec son bolduc signé de l’ artiste, n°1/6. 1974.
    Graveur de formation (Prix de Rome de la gravure en taille douce en 1942), Jean Louis Viard réalise ses premiers cartons au milieu des années 50. D’abord figuratif (il travaille alors avec Picart Le Doux), il emprunte ensuite la pente naturelle de nombreux peintres -cartonniers (la même que Matégot, Tourlière ou Prassinos,…) en évoluant vers l’abstraction. Il réalise des dizaines de cartons jusque dans les années 2000, parallèlement à son travail de peintre et graveur, mais en manifestant intérêt particulier pour les matières et les textures, à l’instar des partisans de la «Nouvelle Tapisserie» dont Pierre Daquin, qui le tissa, fut l’un des protagonistes majeurs. Ses thèmes, parfois métaphysiques (« Mémoires », « Destins »,….) brassent larges, de l’infini astronomique (« ténèbres solaires »), au minuscule cellulaire (« Mutation végétale ») : une œuvre profuse et variée en somme, régulièrement exposée à la Demeure, dans divers salons ou expositions particulières, et plus significativement au salon Comparaison dont il fut le responsable de la section Tapisseries. Provenance : atelier de l’artiste
  • Ichtyonis

    Tapisserie tissée par l’atelier Raymond. Avec son bolduc signé de l’ artiste, n°EA1. 1980.
    Graveur de formation (Prix de Rome de la gravure en taille douce en 1942), Jean Louis Viard réalise ses premiers cartons au milieu des années 50. D’abord figuratif (il travaille alors avec Picart Le Doux), il emprunte ensuite la pente naturelle de nombreux peintres -cartonniers (la même que Matégot, Tourlière ou Prassinos,…) en évoluant vers l’abstraction. Il réalise des dizaines de cartons jusque dans les années 2000, parallèlement à son travail de peintre et graveur, mais en manifestant intérêt particulier pour les matières et les textures, à l’instar des partisans de la «Nouvelle Tapisserie» dont Pierre Daquin, qui le tissa, fut l’un des protagonistes majeurs. Ses thèmes, parfois métaphysiques (« Mémoires », « Destins »,….) brassent larges, de l’infini astronomique (« ténèbres solaires »), au minuscule cellulaire (« Mutation végétale ») : une œuvre profuse et variée en somme, régulièrement exposée à la Demeure, dans divers salons ou expositions particulières, et plus significativement au salon Comparaison dont il fut le responsable de la section Tapisseries. Provenance : atelier de l’artiste

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