Hilaire Camille

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Format -

Hauteur

44 cm596 cm44 cm80 cm98 cm115 cm129 cm145 cm160 cm175 cm191 cm208 cm229 cm248 cm292 cm

Largeur -

33 cm870 cm33 cm83 cm101 cm115 cm135 cm160 cm178 cm197 cm213 cm237 cm275 cm315 cm462 cm

Price -

  • Les grands pins

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton pour la galerie Verrière. Avec son bolduc, n°1/1. Circa 1965.
                Attiré par les grandes surfaces, sous l'influence d'Untersteller à l'Ecole des Beaux-Arts, Hilaire a éxécuté de nombreuses peintures murales. Logiquement, il a réalisé, à partir de 1949, en même temps que de nombreux artistes, stimulés par Lurçat (il fera partie à ses côtés de l'A.P.C.T., Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie), de nombreux cartons (quelques dizaines), dont certains ont  été tissés à Beauvais ou aux Gobelins.   On retrouve ici l'un des leitmotiv de l'artiste dans ses cartons de tapisserie : retranscrire le passage de la lumière dans les frondaisons d'une forêt, qu'on retrouve par e.xemple dans "Soleil dans les arbres" (mais c'était déjà le sujet de "Forêt de France pour le paquebot France). Ici, la gamme chromatique resserrée donne un aspect "vitrail" très affirmé, cet art dont il multipliera les réalisations, dans les églises de Moselle notamment.       Bibliographie : Cat. Expo., Hilaire, oeuvre tissé, galerie Verrière, 1970 Cat. Expo. Hilaire, du trait à la lumière,  Musée Départemental Georges de la Tour à Vic-sur-Seille, 2010.  
  • L'oiseau de feu

     
    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton. Avec son bolduc signé. 1963.
          Attiré par les grandes surfaces, sous l’influence d’Untersteller à l’Ecole des Beaux-Arts, Hilaire a exécuté de nombreuses peintures murales. Logiquement, il a réalisé, à partir de 1949, en même temps que de nombreux artistes, stimulés par Lurçat (il fera partie à ses côtés de l’A.P.C.T., Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie), de nombreux cartons (quelques dizaines), dont certains ont été tissés à Beauvais ou aux Gobelins.   « L’oiseau de feu » témoigne d’une veine dynamique assez rare chez Hilaire, dont les serres ou les forêts sont plus connues : son style fracturé, kaléidoscopique se prête admirablement pourtant à l’expression du mouvement.     Bibliographie : Cat. Expo., Hilaire, oeuvre tissé, galerie Verrière, 1970, ill. Cat. Expo. Hilaire, du trait à la lumière, Musée Départemental Georges de la Tour, Vic-sur-Seille, 2010.  
  • Sérénade

     
    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton. Circa 1950.
        Attiré par les grandes surfaces, sous l’influence d’Untersteller à l’Ecole des Beaux-Arts, Hilaire a éxécuté de nombreuses peintures murales. Logiquement, il a réalisé, à partir de 1949, en même temps que de nombreux artistes, stimulés par Lurçat (il fera partie à ses côtés de l’A.P.C.T., Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie), de nombreux cartons (quelques dizaines), dont certains ont été tissés à Beauvais ou aux Gobelins.   Notre tapisserie est probablement l’un des premiers cartons d’Hilaire, à une époque où la figure humaine était encore omniprésente (avant qu’elle ne disparaisse presque complètement vers 1960), et où il répondait à de nombreuses commandes publiques : notre sérénade champêtre renvoie au »Quatuor », carton de 1950 tissé chez Pinton pour le Mobilier National.   Bibliographie : Cat. Expo., Hilaire, oeuvre tissé, galerie Verrière, 1970 Cat. Expo. Hilaire, du trait à la lumière, Musée Départemental Georges de la Tour à Vic-sur-Seille, 2010.
  • Treilles

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Pinton pour Leleu. Avec son bolduc. 1964.
     
    Attiré par les grandes surfaces, sous l’influence d’Untersteller à l’Ecole des Beaux-Arts, Hilaire a éxécuté de nombreuses peintures murales. Logiquement, il a réalisé, à partir de 1949, en même temps que de nombreux artistes, stimulés par Lurçat (il fera partie à ses côtés de l’A.P.C.T., Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie), de nombreux cartons (quelques dizaines), dont certains ont été tissés à Beauvais ou aux Gobelins.   Notre tapisserie figurait dans la salle à manger de la villa Médy Roc, au Cap d’Antibes, dont l’emménagement et les décors furent réalisés par la maison Leleu, à partir de 1957 ; à cette occasion, poursuivant les recherches de Jacques Adnet sur les imbrications entre architecture, mobilier et tapisserie, articulées sous la houlette d’un ensemblier,  on souhaitait, chez Leleu, entretenir la tradition d’un grand goût « à la française », magnifié par les savoir-faire des meilleurs représentants des arts décoratifs de l’époque. C’est dans cette filiation avouée que fut d’abord placé, du même Hilaire, un « Jardin à la française » dans la salle à manger, avant qu’en 1964, notre tapisserie l’y rejoigne, conjuguant les traditionnelles treilles à des oiseaux largement empreints d’exotisme. Les 2 tapisseries apparaissent dans « les seins de glace », film de Lautner avec Delon, Brasseur et Mireille Darc, tourné sur place. Provenance : villa Médy Roc, Cap d’Antibes   Bibliographie : Cat. Expo., Hilaire, oeuvre tissé, galerie Verrière, 1970 Cat. Expo. Hilaire, du trait à la lumière, Musée Départemental Georges de la Tour à Vic-sur-Seille, 2010.
  • Les nymphéas

     
    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton pour la galerie Verrière. Avec son bolduc, n°4/6. 1968.  
    Attiré par les grandes surfaces, sous l’influence d’Untersteller à l’Ecole des Beaux-Arts, Hilaire a exécuté de nombreuses peintures murales. Logiquement, il a réalisé, à partir de 1949, en même temps que de nombreux artistes, stimulés par Lurçat (il fera partie à ses côtés de l’A.P.C.T., Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie), de nombreux cartons (quelques dizaines), dont certains ont été tissés à Beauvais ou aux Gobelins. Hilaire s’approprie le sujet, préempté par Monet, dans son style cubisant (et tendant vers l’abstraction) habituel, fait de lignes et de formes circulaires à la gamme chromatique bleue et verte exaltée. Sa passion pour l’horticulture, à laquelle il se destinait dans sa jeunesse, est ici comme un écho de celle de Monet à Giverny.  
    Bibliographie : Cat. Expo., Hilaire, oeuvre tissé, galerie Verrière, 1970, ill. Cat. Expo. Hilaire, du trait à la lumière, Musée Départemental Georges de la Tour à Vic-sur-Seille, 2010.
  • Camargue

    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton. Bolduc signé de l’artiste, n°4/6. 1963.
    Attiré par les grandes surfaces, sous l’influence d’Untersteller à l’Ecole des Beaux-Arts, Hilaire a éxécuté de nombreuses peintures murales. Logiquement, il a réalisé, à partir de 1949, en même temps que de nombreux artistes, stimulés par Lurçat (il fera partie à ses côtés de l’A.P.C.T., Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie), de nombreux cartons (quelques dizaines), dont certains ont été tissés à Beauvais ou aux Gobelins. On retrouve son style figuratif cubisant (qui confine parfois à l’abstraction) dans ses cartons de tapisserie : dans le nôtre, mais aussi par exemple dans celui réalisé pour le Salon Fontainebleau du Paquebot France, “Sous-bois “(190 x 988 cm, tissage Pinton, reproduit dans Armelle Bouchet Mazas, le paquebot France, Paris, 2006, p.169), où formes et couleurs sont fragmentées de façon kaléidoscopique. “Camargue” est reproduit dans le classeur “Tapisserie d’Aubusson” édité par la Chambre de commerce et d’Industrie de Guéret au début des années 80 pour illustrer le savoir-faire des ateliers d’Aubusson.
    Bibliographie : Cat. Expo., Hilaire, oeuvre tissé, galerie Verrière, 1970 (reproduite) Cat. Expo. Hilaire, du trait à la lumière, Musée Départemental Georges de la Tour à Vic-sur-Seille, 2010.

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