Toutes les tapisseries

Accueil|Toutes les tapisseries

Artists -

Format -

Hauteur

Largeur -

Price -

  • Buisson d'algues

      Tapisserie tissée par l'atelier Baudonnet. Avec son bolduc signé de l'artiste. 1967.           Jean Picart le Doux est l’un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot « la Marseillaise ». Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,…), il est membre fondateur  de l’A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. L’Etat lui commande de nombreux cartons tissés pour la plupart à Aubusson, pour certains aux Gobelins : les plus spectaculaires le seront pour l’Université de Caen, le Théâtre du Mans, le Paquebot France ou la Préfecture de la Creuse,…. Si les conceptions de Picart le Doux  sont proches de celles de Lurçat, ses sources d’inspiration, ses thématiques, le sont aussi,  mais dans un registre plus décoratif que symbolique, où se côtoient les astres (le soleil, la lune, les étoiles…), les éléments, la nature (le blé, la vigne, les poissons, les oiseaux…), l’homme, les textes,…. Jean Picart le Doux est l’un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot « la Marseillaise ». Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,…), il est membre fondateur  de l’A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. L’Etat lui commande de nombreux cartons tissés pour la plupart à Aubusson, pour certains aux Gobelins : les plus spectaculaires le seront pour l’Université de Caen, le Théâtre du Mans, le Paquebot France ou la Préfecture de la Creuse,…. Si les conceptions de Picart le Doux  sont proches de celles de Lurçat, ses sources d’inspiration, ses thématiques, le sont aussi,  mais dans un registre plus décoratif que symbolique, où se côtoient les astres (le soleil, la lune, les étoiles…), les éléments, la nature (le blé, la vigne, les poissons, les oiseaux…), l’homme, les textes,….   Les motifs de coraux et d’algues sont apparus antérieurement (dans « Univers marin » par exemple de 1961), mais ici le motif s’est densifié ; la même année, Picart le Doux donne encore « les algues vertes », « abysses », toujours cette préoccupation (sous-)marine. D’après Bruzeau, un exemplaire de « Buisson d’algues » ornait l’atelier de l’artiste .     Bibliographie : Marthe Belle-Joufray, Jean Picart le Doux, Publications filmées d’art et d’histoire, 1966 Maurice Bruzeau, Jean Picart le Doux, Murs de soleil, Editions Cercle d’art, 1972, n°163 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, tapisseries, Musée de Saint-Denis, 1976 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Musée de la Poste, 1980    
  • Un matin

     
     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Four. N°EA2/2. 1984.
        Artiste complet, qui pourtant disait n’être « ni peintre, ni dessinateur, ni affichiste, ni écrivain, ni graveur. Je ne suis ni abstrait, ni figuratif. … Je ne comprends pas mes images, et chacun est libre de les comprendre comme il veut. J’ai seulement essayé de fixer mes propres rêves, avec l’espoir que les autres y accrochent les leurs », Folon a rencontré un incroyable succès, depuis les illustrations pour les grands magazines américains dans les années 60, les nombreuses affiches, les œuvres présentées aux biennales de Venise et de Sao Paulo, les génériques pour Antenne2,….Rien d’étonnant, dès lors, à ce qu’il se soit intéressé aussi à la tapisserie (sa plus grande composition, 80 m² figure au Centre des Congrès de Monaco, tissée, comme les autres, par l’atelier Four), dans son style clair et mesuré, et dont l’inspiration n’est pas sans rappeler son compatriote Magritte. L’esthétique de notre tapisserie est très inspirée de l’aquarelle (teintes pâles, effets de dégradés,…), médium de prédilection de Folon, ce qui lui donne une spécificité aux antipodes des créations d’autres peintres-cartonniers contemporains. L’œil-soleil, leitmotiv chez Folon, surplombant un paysage désertique ou maritime, témoigne de son onirisme singulier.     Bibliographie : Léon-Louis Sosset, Tapisserie contemporaine en Belgique, Perron, 1989, reproduite p.138  
  • Jardin sauvage

      Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Glaudin-Brivet. Avec son bolduc signé de l’artiste, n°4/4. Circa 1970.
     
    C’est en 1953 que Jean Picart le Doux offre à Chaye de devenir son assistant et l’encourage à créer des cartons de tapisserie : il réalisera alors de nombreux cartons bucoliques, mais aussi des vues de Normandie (Mont Saint Michel, Honfleur, régates,…), dont il est originaire.   Carton classique de la veine naturaliste de l’artiste, spécialiste des enclos, haies et autres sous-bois.
         
  • Composition

     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Rivière des Borderies. Circa 1950.
      Proche de Bertholle et de Le Normand, avec lequel il réalise des fresques dans les années 40, Idoux donne son premier carton en 1946, et adhere à l’A.P.C.T. en 1951. Ses tapisseries, aux résonances géométriques et optiques harmonieusement rythmées (nous ne sommes qu’au début des années 50 !) sont un écho de ses realisations dans le domaine du vitrail (à Notre-Dame de Royan par exemple). Si le parcours d’Idoux en tapisserie est météorique (une vingtaine de cartons en une dizaine d’années), il atteindra néanmoins un point d’orgue officiel avec “Jardin Magique”  et “Fée Mirabelle” tissées pour le salon des premières classes du paquebot “France” (“Jardin magique”est maintenant conservé à l’écomusée de Saint-Nazaire).
  • Faisan d'ombre

     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Caron. Avec son bolduc signé de l'artiste. Circa 1950.
        L’Œuvre de Lurçat est immense : c’est toutefois son rôle dans la rénovation de l’art de la tapisserie qui lui vaut d’être passé à la postérité. Dès 1917, il commence par des œuvres au canevas, puis, dans les années 20 et 30, il travaillera avec Marie Cuttoli. Sa première collaboration avec les Gobelins date de 1937, alors qu’il découvre simultanément la tenture de l’Apocalypse d’Angers qui l’incite définitivement à se consacrer à la tapisserie. Il abordera les questions techniques d’abord avec François Tabard, puis à l’occasion de son installation à Aubusson pendant la guerre, il définira son système : gros point, tons comptés, cartons dessinés numérotés. Une production gigantesque commence alors (plus de 1000 cartons), amplifiée par la volonté d‘entraîner ses amis peintres, la création de l’A.P.C.T. (Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie) et la collaboration avec la galerie La Demeure et Denise Majorel, puis par son rôle d’inlassable propagateur du médium à travers le Monde.   Son œuvre tissée témoigne d’un art d’imagier spécifiquement décoratif, dans une iconographie symbolique très personnelle, cosmogonique (soleil, planètes, zodiaque, 4 éléments…), végétale stylisée, animale (boucs, coqs, papillons, chimères…), se détachent sur un fond sans perspective (volontairement éloigné de la peinture), et destinée, dans ses cartons les plus ambitieux, à faire partager une vision à la fois poétique (il émaille d’ailleurs parfois ces tapisseries de citations) et philosophique (les grands thèmes sont abordés dès la guerre : la liberté, la résistance, la fraternité, la vérité… ) et dont le point culminant sera le « Chant du Monde » ( Musée Jean Lurçat, ancien hôpital Saint-Jean, Angers) , inachevé à sa mort.   Chez Lurçat, le motif du coq peut prendre plusieurs intitulés : paon, faisan (pour s’en tenir à des titres ornithologiques, car du motif plastique à sa valeur symbolique les déclinaisons sont infinies). Quant au traitement « en négatif », sans aplats, il apparait régulièrement à partir de « coq dentelle » (un programme en soi, un jeu entre textiles) de 1946.     Bibliographie : Tapisseries de Jean Lurçat 1939-1957, Pierre Vorms Editeur, 1957 Cat. Expo. Lurçat, 10 ans après, Musée d’Art moderne de la ville de Paris, 1976 Cat. Expo. Les domaines de Jean Lurçat, Angers, Musée Jean Lurçat et de la tapisserie contemporaine, 1986 Colloque Jean Lurçat et la renaissance de la tapisserie à Aubusson, Aubusson, Musée départemental de la Tapisserie, 1992 Cat. Expo. Dialogues avec Lurçat, Musées de Basse-Normandie, 1992 Cat. Expo. Jean Lurçat, Donation Simone Lurçat, Académie des Beaux-Arts, 2004 Gérard Denizeau, Denise Majorel, une vie pour la tapisserie, Aubusson, Musée départemental de la tapisserie, reproduit p.59 Gérard Denizeau, Jean Lurçat, Liénart, 2013, reproduit fig.154 Cat. Expo. Jean Lurçat, Meister der französischen Moderne, Halle, Kunsthalle, 2016 Cat. Expo. Jean Lurçat au seul bruit du soleil, Paris, galerie des Gobelins, 2016  
  • Soleil couchant

     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Pinton. Avec son bolduc signé de l'artiste. Circa 1950.
        L’Œuvre de Lurçat est immense : c’est toutefois son rôle dans la rénovation de l’art de la tapisserie qui lui vaut d’être passé à la postérité. Dès 1917, il commence par des œuvres au canevas, puis, dans les années 20 et 30, il travaillera avec Marie Cuttoli. Sa première collaboration avec les Gobelins date de 1937, alors qu’il découvre simultanément la tenture de l’Apocalypse d’Angers qui l’incite définitivement à se consacrer à la tapisserie. Il abordera les questions techniques d’abord avec François Tabard, puis à l’occasion de son installation à Aubusson pendant la guerre, il définira son système : gros point, tons comptés, cartons dessinés numérotés. Une production gigantesque commence alors (plus de 1000 cartons), amplifiée par la volonté d‘entraîner ses amis peintres, la création de l’A.P.C.T. (Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie) et la collaboration avec la galerie La Demeure et Denise Majorel, puis par son rôle d’inlassable propagateur du médium à travers le Monde. Son œuvre tissée témoigne d’un art d’imagier spécifiquement décoratif, dans une iconographie symbolique très personnelle, cosmogonique (soleil, planètes, zodiaque, 4 éléments…), végétale stylisée, animale (boucs, coqs, papillons, chimères…), se détachent sur un fond sans perspective (volontairement éloigné de la peinture), et destinée, dans ses cartons les plus ambitieux, à faire partager une vision à la fois poétique (il émaille d’ailleurs parfois ces tapisseries de citations) et philosophique (les grands thèmes sont abordés dès la guerre : la liberté, la résistance, la fraternité, la vérité… ) et dont le point culminant sera le « Chant du Monde » ( Musée Jean Lurçat, ancien hôpital Saint-Jean, Angers) , inachevé à sa mort.   Le motif de la chouette (plutôt un hibou d’ailleurs) aux ailes déployées, figure tutélaire et protectrice, se déploie à partir des années 50. Une des photos les plus célèbres de l’artiste le montre d’ailleurs les bras écartés, les mains sur son crane chauve, avec derrière-dessus, une telle chouette.     Bibliographie : Tapisseries de Jean Lurçat 1939-1957, Pierre Vorms Editeur, 1957 Cat. Expo. Lurçat, 10 ans après, Musée d’Art moderne de la ville de Paris, 1976 Cat. Expo. Les domaines de Jean Lurçat, Angers, Musée Jean Lurçat et de la tapisserie contemporaine, 1986 Colloque Jean Lurçat et la renaissance de la tapisserie à Aubusson, Aubusson, Musée départemental de la Tapisserie, 1992 Cat. Expo. Dialogues avec Lurçat, Musées de Basse-Normandie, 1992 Cat. Expo. Jean Lurçat, Donation Simone Lurçat, Académie des Beaux-Arts, 2004 Gérard Denizeau, Jean Lurçat, Liénart, 2013 Cat. Expo. Jean Lurçat, Meister der französischen Moderne, Halle, Kunsthalle, 2016 Cat. Expo. Jean Lurçat au seul bruit du soleil, Paris, galerie des Gobelins, 2016  
  • Bel oiseau querelleur

     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Tabard. Avec son bolduc. 1948.
        L’Œuvre de Lurçat est immense : c’est toutefois son rôle dans la rénovation de l’art de la tapisserie qui lui vaut d’être passé à la postérité. Dès 1917, il commence par des œuvres au canevas, puis, dans les années 20 et 30, il travaillera avec Marie Cuttoli. Sa première collaboration avec les Gobelins date de 1937, alors qu’il découvre simultanément la tenture de l’Apocalypse d’Angers qui l’incite définitivement à se consacrer à la tapisserie. Il abordera les questions techniques d’abord avec François Tabard, puis à l’occasion de son installation à Aubusson pendant la guerre, il définira son système : gros point, tons comptés, cartons dessinés numérotés. Une production gigantesque commence alors (plus de 1000 cartons), amplifiée par la volonté d‘entraîner ses amis peintres, la création de l’A.P.C.T. (Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie) et la collaboration avec la galerie La Demeure et Denise Majorel, puis par son rôle d’inlassable propagateur du médium à travers le Monde. Son œuvre tissée témoigne d’un art d’imagier spécifiquement décoratif, dans une iconographie symbolique très personnelle, cosmogonique (soleil, planètes, zodiaque, 4 éléments…), végétale stylisée, animale (boucs, coqs, papillons, chimères…), se détachent sur un fond sans perspective (volontairement éloigné de la peinture), et destinée, dans ses cartons les plus ambitieux, à faire partager une vision à la fois poétique (il émaille d’ailleurs parfois ces tapisseries de citations) et philosophique (les grands thèmes sont abordés dès la guerre : la liberté, la résistance, la fraternité, la vérité… ) et dont le point culminant sera le « Chant du Monde » ( Musée Jean Lurçat, ancien hôpital Saint-Jean, Angers) , inachevé à sa mort.   Notre tapisserie reprend un vers du « Coq » d’Aragon, évoqué de façon plus extensive dans « Oiseau de toutes les couleurs » (carton de 1948 dont un exemplaire est conservé à la Cité de la Tapisserie, à Aubusson). Le mot comme motif plastique est récurrent chez Lurçat ; ici, il permet une concordance thématique et symbolique (le coq), politique et historique (la Résistance, le PCF).       Bibliographie : Tapisseries de Jean Lurçat 1939-1957, Pierre Vorms Editeur, 1957 Cat. Expo. Lurçat, 10 ans après, Musée d’Art moderne de la ville de Paris, 1976 Cat. Expo. Les domaines de Jean Lurçat, Angers, Musée Jean Lurçat et de la tapisserie contemporaine, 1986 Colloque Jean Lurçat et la renaissance de la tapisserie à Aubusson, Aubusson, Musée départemental de la Tapisserie, 1992 Cat. Expo. Dialogues avec Lurçat, Musées de Basse-Normandie, 1992 Cat. Expo. Jean Lurçat, Donation Simone Lurçat, Académie des Beaux-Arts, 2004 Gérard Denizeau, Jean Lurçat, Liénart, 2013 Cat. Expo. Jean Lurçat, Meister der französischen Moderne, Halle, Kunsthalle, 2016 Cat. Expo. Jean Lurçat au seul bruit du soleil, Paris, galerie des Gobelins, 2016  
  • Le village d'Eze

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Jean Laurent. N°3/6. Circa 1980.
       
    Dans un style post-cubiste décoratif proche de celui de Toffoli, Raymond Poulet a su traduire l’un des sites les plus spectaculaires de la côte d’Azur.
  • Oiseaux

     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par la coopérative Tapisseries de France. 1952.
            Perrot commence son oeuvre de cartonnier à l’issue de la guerre, réalisant près de 500 cartons, avec de nombreuses commandes de l’Etat, la plupart tissées à Aubusson. Son style éminemment décoratif et chatoyant est très caractéristique :  un foisonnement de papillons ou d’oiseaux, le plus souvent, se détache sur un fond végétal, dans le goût des tapisseries mille-fleurs (dont s’inspirera aussi Dom Robert).   Si, en tapisserie, les oiseaux sont récurrents chez Perrot (comme une marque de fabrique !), le fond à motif de paysage est rare. Pourtant, l’artiste a produit de nombreuses gouaches au gré de ses déplacements (le Doubs, l’Auvergne, Collioure, les Canaries….), œuvre sensible et, restée, pour l’essentiel, confidentielle.   Bibliographie : Tapisserie, dessins, peintures, gravures de René Perrot, Dessein et Tolra, 1982    
  • Ecume

      Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Picaud. Avec son bolduc, n°2/6. 1974.     Jean Picart le Doux est l'un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot "la Marseillaise". Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,...), il est membre fondateur  de l'A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. L'Etat lui commande de nombreux cartons tissés pour la plupart à Aubusson, pour certains aux Gobelins : les plus spectaculaires le seront pour l'Université de Caen, le Théâtre du Mans, le Paquebot France ou la Préfecture de la Creuse,.... Si les conceptions de Picart le Doux  sont proches de celles de Lurçat, ses sources d'inspiration, ses thématiques, le sont aussi,  mais dans un registre plus décoratif que symbolique, où se côtoient les astres (le soleil, la lune, les étoiles...), les éléments, la nature (le blé, la vigne, les poissons, les oiseaux...), l'homme, les textes,.... Notre carton reprend, avec quelques variantes (notamment le texte, d’après Saint-John Perse, qui donne son titre à la tapisserie)  Et la mer au matin (Bruzeau n°153), tissée pour le paquebot « Pasteur » des « Messageries Maritimes » en 1966.   Bibliographie : Marthe Belle-Joufray, Jean Picart le Doux, Publications filmées d’art et d’histoire, 1966 Maurice Bruzeau, Jean Picart le Doux, Murs de soleil, Editions Cercle d’art, 1972 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, tapisseries, Musée de Saint-Denis, 1976 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Musée de la Poste, 1980 Cat. Exp. Picart le Doux, Château d'Olonne, 1992, reproduit en couverture          

Titre

Aller en haut