Toutes les tapisseries

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  • Linda

     
     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Four. Avec son bolduc, n°EA2. Circa 1980.  
       
     
  • Marchands

     
     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Four. Avec son bolduc signé, n°EA2/2. Circa 1980.  
       
     
  • Les 6 mots du secret

     
     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Pinton. Avec son bolduc signé, n°1/1. 2001.
     
     
  • Le lion

        Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Picaud. Avec son bolduc signé de la veuve de l'artiste, n°2/6. Circa 1980.              
  • Oiseau de Midi

       
     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Legoueix. Avec son bolduc signé, n°EA. 1969.
           
     
     
  • Le périscope

       
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Pinton. Avec son bolduc signé, n°1/6. 1971.
           
  • Bouquet papillon

       
    Tapisserie tissée à Aubusson par l’atelier Legoueix. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°4/6. Circa 1980.
         
    De l’illustration à la tapisserie, il n’y a qu’un (grand) pas à franchir, rappelons-nous que dom Robert était enlumineur ! C’est justement celui-ci, ainsi que Madeleine David, l’une des co-directrices de la galerie la Demeure, dont elle était proche, qui incitèrent Jacqueline Duhême à se pencher sur le médium : précédée de sa réputation d’ « imagière » (cf. bibliographie), illustrant Prévert, Eluard ou Druon, elle se consacre à la tapisserie de 1967 (elle suit alors les cours de Tourlière à l’ENAD d’Aubusson, et devient une adepte du carton numéroté) à 1981, La Demeure lui consacrant même une exposition monographique en 1976. Son univers, venu des mille-fleurs médiévales, n’est pas sans rappeler dom Robert, mais un dom Robert sous amphétamines, où la Nature est foisonnante, exotique, exubérante (cf. « Safari », « l’oiseau de Paradis »). A plus petite échelle, plus policé aussi, notre carton témoigne de la vitalité colorée de l’inspiration de Duhême.   Bibliographie : Cat. Expo. Jacqueline Duhême l’imagière, bibliothèque Forney, 2019
  • Instruments de musique lunaire

     
     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Pinton. 1950.
        Peintre et graveur, Lucien Coutaud travaille aussi pour le théâtre avec Dullin, Barrault : il réalise alors de nombreux décors et costumes. Mais c’est la rencontre avec Marie Cuttoli en 1933 qui l’amènera à la tapisserie : celle-ci lui commande alors surtout des  cartons de sièges . La plupart des tapisseries suivantes seront tissés chez  Pinton pour la Compagnie des Arts Français, qui vise à intégrer la Tapisserie dans le décor intérieur. Les 3 dernières tapisseries de l’artiste en 1960 témoignent de sa renommée puisque « Jardins exotiques » ornent le salon de Première Classe du "France ". Les qualités de scénographe influencé par le surréalisme se reflètent dans l’œuvre tissée de Coutaud : son univers est figuratif, mais stylisé (les formes sont aiguës, hachées), résolument onirique, avec d’insolites bordures très souvent.     Le carton « instruments de musique lunaire » (Coutaud dessinait lui-même ses cartons gouachés, sans avoir recours aux cartons numérotés) date de 1950 : c’est une des rares tapisseries de l’artiste (avec justement « harpe marine », et « violon printanier », autres témoignages du goût pour ces natures mortes musicales chez l’artiste) où la figure humaine se fasse rare. Le centre de la composition (de la scène) est occupé par les instruments, tandis que 2 têtes (souffleurs, musiciens dans la fosse) ornent les coins inférieurs, le tout dans un paysage austère, nocturne (lunaire justement), illustration des mondes oniriques chers à l’artiste. Le théâtre de la ville de Göteborg conserve un exemplaire de cette tapisserie.     Bibliographie : J. Cassou, M. Damain, R. Moutard-Uldry, la tapisserie française et les peintres cartonniers, Tel, 1957, ill. p.86 Cat. Exp. Lucien Coutaud, œuvre tissé, Aubusson, Musée Départemental de la Tapisserie, 1988-1989, illustrée p.42-43 Cat. Expo. Le théâtre en tapisserie, Cavaillès, Lurçat, Matisse, Sorèze, Abbaye-école Musée dom Robert, 2017, ill. n°8
     
  • Le conscrit des 100 villages

       
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Tabard. 1947.
           
  • Aube quarte

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Picaud. Avec son bolduc signé, n°2/4. Circa 1970.
       
     
    Marc Petit rencontre Jean Lurçat en 1954, séjourne à Aubusson en 1955, expose pour la première fois à La Demeure en 1956, devient membre de l'A.P.C.T. (Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie) en 1958. A partir de ces débuts fulgurants, il produit des centaines de cartons, dans un style très personnel, où des échassiers croisent des funambules dans des paysages oniriques.     Economie de moyens toujours, avec de larges aplats et une gamme chromatique resserrée, pour donner une aube singulière, thème dont l’artiste est friand (cf. «  le pas de l’aube », mais aussi « Aurore », « la nuit s’éteint »….) Quant à la nuée d’oiseaux passants, c’est un autre leitmotiv, que l’on voit dans « aube courte » par exemple.    

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