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Tapisserie tissée par l’atelier Claire Rado. Avec son bolduc signé de l'artiste. Circa 1965.
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Composition
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Andraud. Circa 1960. -
Joyau
Tapisserie tissée par l’atelier Braquenié. Avec son bolduc, n°1. Circa 1975.Rare témoignage de la production tissée de l’artiste : on y retrouve ses agencements formels compliqués typiques. -
Oliviers avec ciel jaune et soleil
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Four. Avec son bolduc, n°6/6. D'après une oeuvre de l'artiste de 1889, conservée au Minneapolis Institute of Arts. -
La huppe rouge
Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Picaud. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°3/6. Circa 1970. -
Soleil pour Maria Pia
Tapisserie d'Aubusson tissée par les ateliers Pinton frères. Avec son bolduc, n°1/3. Circa 1970. Holger a été élève à l’Ecole Nationale d’Art Décoratif d’Aubusson, et a travaillé avec Lurçat avant la mort de celui-ci, en 1966. Il a réalisé de nombreux cartons oniriques tissés à Aubusson. Etabli aux Etats-Unis, il reste un infatigable défenseur, et témoin, de la tapisserie moderne, en organisant expositions et conférences sur le sujet. -
Les 2 écureuils
Tapisserie tissée par l'atelier de Wit. Avec son bolduc signé. Circa 1960. -
Double amitié
Tapisserie d'Aubusson tissée dans l’atelier Four. Avec son bolduc signé, n°EA1. 1972. -
Belle entente
Tapisserie tissée dans l’atelier DMD, à Tournai. Avec son bolduc. 1989. -
Rapace
Tapisserie tissée par l'atelier CRECIT, à Tournai. Avec son bolduc. 1995. -
Oiseaux
Tapisserie d'Aubusson tissée dans l’atelier Simone André. Circa 1950. -
Concerto
Tapisserie tissée par l’atelier de Saint-Cyr. Avec son bolduc signé de l’artiste, n°1/6. Circa 1970. Artiste inconnue, dont l’inspiration se trouve dans la Musique et le solfège ; la géométrie du clavier, les lignes de la partition servent de trame au carton. -
Figure de trois
Tapisserie tissée par l’atelier de Saint-Cyr. Avec son bolduc signé de l’artiste, n°1/6. Circa 1970. Artiste inconnue, dont l’inspiration se trouve dans la Musique et le solfège ; la géométrie du clavier, les lignes de la partition servent de trame au carton. -
Idylle pastorale
Tapisserie d'Aubusson. Circa 1930. -
Portrait
Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Pinton. Avec son bolduc, n°1/6. Circa 1980.Sans doute une tapisserie tissée d’après une œuvre d’Hélène Champaloux (avec un X !), dans une esthétique proche de celle des affiches des années 70, avec un visage comme solarisé : une rareté en tapisserie ! -
L'oiseau de rêve
Tapisserie d'Aubusson tissée dans l’atelier Tabard. Avec son bolduc signé. 1966. -
Roc neige
Tapisserie tissée par l'atelier L.M. à Calais. Avec son bolduc signé, n°EA1. Circa 1970.Verrier (il conçut de nombreux vitraux pour des édifices publics, notamment dans le Boulonnais), graveur, peintre, photographe, Lhotellier avait de nombreuses cordes à son arc. Typique de ses réalisations vers 1970, notre tapisserie témoigne de l’existence d’ateliers de tissage méconnus et capables de réalisations abouties, loin de ce qui se faisait alors à Aubusson. -
La piste de Pan
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Slaghenauffi. Avec son bolduc, n°EA. Circa 1980. -
L'oiseau d'argent
Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Jane Perathon. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°6 Circa 1970. -
La chèvre
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Picaud. Avec son bolduc signé, n°1/6. Circa 1980. -
L'oiseau lyre
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Pinton. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°3/6. Circa 1960. Jean Picart le Doux est l'un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot "la Marseillaise". Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,...), il est membre fondateur de l'A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. L'Etat lui commande de nombreux cartons tissés pour la plupart à Aubusson, pour certains aux Gobelins : les plus spectaculaires le seront pour l'Université de Caen, le Théâtre du Mans, le Paquebot France ou la Préfecture de la Creuse,.... Si les conceptions de Picart le Doux sont proches de celles de Lurçat, ses sources d'inspiration, ses thématiques, le sont aussi, mais dans un registre plus décoratif que symbolique, où se côtoient les astres (le soleil, la lune, les étoiles...), les éléments, la nature (le blé, la vigne, les poissons, les oiseaux...), l'homme, les textes,.... Motif repris de « l’oiseau-lyre » de 1954, carton plus fourni, et de plus grande taille, incluant le motif du jardin à la française. Picart le Doux était coutumier du recyclage d’éléments prélevés dans des cartons antérieurs. Bibliographie : Marthe Belle-Joufray, Jean Picart le Doux, Publications filmées d’art et d’histoire, 1966 Maurice Bruzeau, Jean Picart le Doux, Murs de soleil, Editions Cercle d'art, 1972 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, tapisseries, Musée de Saint-Denis, 1976 Cat. Exp. Jean Picart le Doux, Musée de la Poste, 1980 -
Saint François parlant aux animaux
Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Perathon. 1938.Jean Bazaine, comme nombre de ses contemporains, a toujours poursuivi une intense activité liée à l’art mural, dans des travaux à destination monumentale. S’il est surtout connu comme concepteur de vitraux ou de mosaïques, il a également réalisé des cartons de tapisserie, et ce, dès la fin des années 30. Ces réalisations rentrent dans le cadre d’un renouveau de l’art sacré dont Bazaine, surtout après la guerre, sera l’un des principaux protagonistes. Jean Bazaine dirige avec l’abbé Morel (qui sera un des grands acteurs de l’introduction de l’abstraction dans les églises), de 1936 à 1937, un atelier de peinture, d’où, sans doute, des préoccupations déjà avancées dans le domaine de l’art sacré. Notre carton, figuratif (Bazaine abandonne la figuration pendant la guerre), à l’iconographie traditionnelle, est donc un témoignage, modeste, des premiers pas de l’artiste à la fois dans l’art mural et dans l’art sacré. -
Chasse à courre
Tapisserie tissée par l’atelier du moulin de Vauboyen. Circa 1970. -
Crescendo
Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Legoueix. Avec son bolduc, n°2/6. Circa 1980. -
Ichtyonis
Tapisserie tissée par l’atelier Raymond. Avec son bolduc signé de l’ artiste, n°EA1. 1980.Graveur de formation (Prix de Rome de la gravure en taille douce en 1942), Jean Louis Viard réalise ses premiers cartons au milieu des années 50. D’abord figuratif (il travaille alors avec Picart Le Doux), il emprunte ensuite la pente naturelle de nombreux peintres -cartonniers (la même que Matégot, Tourlière ou Prassinos,…) en évoluant vers l’abstraction. Il réalise des dizaines de cartons jusque dans les années 2000, parallèlement à son travail de peintre et graveur, mais en manifestant intérêt particulier pour les matières et les textures, à l’instar des partisans de la «Nouvelle Tapisserie» dont Pierre Daquin, qui le tissa, fut l’un des protagonistes majeurs. Ses thèmes, parfois métaphysiques (« Mémoires », « Destins »,….) brassent larges, de l’infini astronomique (« ténèbres solaires »), au minuscule cellulaire (« Mutation végétale ») : une œuvre profuse et variée en somme, régulièrement exposée à la Demeure, dans divers salons ou expositions particulières, et plus significativement au salon Comparaison dont il fut le responsable de la section Tapisseries. Provenance : atelier de l’artiste -
Composition
Tapisserie tissée par l'artiste. Avec son bolduc signé, et sa maquette. Circa 1980. -
Hautes brandes
Tapisserie d’Aubusson tissée dans l'atelier Four. Avec son bolduc, n°EA1. Circa 1980. -
Matin d'été
Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Laurent. Avec son bolduc signé, n°2/6. 1983. -
Composition
Tapisserie d’Aubusson tissée dans l'atelier Four. N°EA2/2. Circa 1980.Ancien élève de l’ENAD d’Aubusson, Lartigaud conçoit son premier carton en 1968. Il en a créé depuis des centaines, surtout tissés par la Manufacture Four, dans un style abstrait parfois émaillé d’astres. -
Gilet l'enfant aux mirages
Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Legoueix. 1997.Provenance : atelier Sautour-GaillardElève de Wogensky à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués, Sautour-Gaillard voit son premier carton tissé en 1971 par l'atelier Legoueix (une collaboration qui ne s'est pas démentie par la suite), et il multiplie ensuite les projets monumentaux, dont le plus spectaculaire est "Pour un certain idéal", tenture de 17 tapisseries sur le thème de l'olympisme (conservée au Musée de l'Olympisme de Lausanne). D' abord proche de l'abstraction lyrique, l'artiste réalise dans les années 90 des cartons à base d'assemblages de motifs décoratifs, de textures et de figures, apparemment superposés et comme unifiés dans le tissage. Les 2 gilets de l’exposition « Archéologies » tenue à la galerie Inard en 1997 témoignent de la volonté de la « filière Aubusson », alors en plein désarroi, de varier ses productions : Sautour-Gaillard, grand collectionneurs de tissus lui-même, y montre la même inspiration que dans ses collages tissés contemporains. Bibliographie : D. Cavelier, Jean-René Sautour-Gaillard, la déchirure, Lelivredart, 2013, reproduite p.6 (porté par l’artiste), 296 -
Mexicaine aux arums
Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Four. Avec son bolduc, n°5/6. Circa 1990. Toffoli s'est beaucoup consacré à la tapisserie avec la manufacture Robert Four, à partir de 1976, réalisant des centaines de cartons. On y retrouve les transparences post-cubistes propres au peintre, ainsi que ses sujets. En effet, la tapisserie de Toffoli ne se démarque pas de sa peinture : peintre-voyageur, il illustre dans notre carton des scènes observées lors de séjours en Amérique du Sud. -
Sarabande
Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Pinton. Avec son bolduc. 1954. -
Coquerelle
Tapisserie tissée à Aubusson par l’atelier Legoueix. Avec son bolduc, n°4/6. 1967. -
Au coeur de l'ombre
Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Legoueix. Avec son bolduc signé, n° 1/3 (et mention "tirage arrêté 1/2"). 1971.Après l’habituel passage par la décoration murales dans les années 30, Jullien vient à Aubusson en 1936, se lie à Picart le Doux en 1947 et devient membre de l’A.P.C.T. (Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie). Il se consacre alors à la tapisserie avec zèle et réalisera 167 cartons, d’abord figuratives, à la suite de Picart le Doux et de Saint-Saëns, puis sous l’influence des thèmes scientifiques abordés, il évolue vers l’abstraction. En 1981, deux ans avant sa mort, il fait don de son atelier au Musée départemental de la tapisserie à Aubusson. Notre carton (le seul pour 1971) est un prélude à l’année des « ombres » que fut 1972 : tous les 13 cartons conçus cette année-là en ont mention dans leur titre ; peut-être est-ce à mettre en relation avec la réalisation contemporaine des vitraux pour le temple de Villefavard. Bibliographie : Cat. Expo. Hommage à Louis-Marie Jullien, Aubusson, Musée départemental de la Tapisserie, 1983, n°148 (reproduction de la maquette) -
Enclos végétal
Tapisserie tissée par l'atelier Braquenié. Circa 1965. -
Rêve gris
Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Glaudin-Brivet. Avec son bolduc signé de l'artiste, n°6/6. Circa 1980. -
Valise fleur III
Tapisserie tissée dans l’atelier de tapisserie d'Angers. Avec son bolduc signé, n°1/6. 2002. -
Les beaux jours
Tapisserie d’Aubusson tissée dans l'atelier Micheline Henry. Avec un bolduc signé de l’artiste, n°2/6. Circa 1980. -
Chant d'oiseaux
Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton. Avec un bolduc signé de l’artiste, n°1/6. Circa 1970. -
La vérité cruelle d'un ancien jeu
Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton. Avec son bolduc. 1970.Surtout connu comme graveur (et d’ailleurs considéré comme l’un des plus importants du XXe siècle), Pierre Courtin a conçu quelques cartons de tapisserie (dont l’une de 110 m² (!) est conservée au Bureau International du Travail à Genève), dont certains, comme le nôtre, sont justement repris de ses gravures. On retrouve, dans notre pièce, l’esthétique très personnelle de l’artiste, faite d’étranges assemblages de formes géométriques, qui ne sont pas sans rappeler les motifs de certaines civilisations disparues (sud-américaines notamment). Etrange aussi est la gamme chromatique choisie ici par l’artiste, loin des forts contrastes de tons propres à ses confrères cartonniers. -
Bouquet d'automne
Tapisserie d'Aubusson. N°EA1. Circa 1975.Elève de l’ENAD, Goffinet a été un proche collaborateur de Dirk Holger, dont l’influence (de même que celle de Prassinos) est notable dans ses rares cartons tissés. Il a, comme ici, parfois tissé lui-même ses cartons. -
Courrier Sud
Tapisserie d’Aubusson, éditée par Jean Laurent. Avec son bolduc, n°1/6. 1976.Connu pour sa peinture géométrique faites parfois d’éléments machinistes, Gachon, d’origine aubussonnaise, a dessiné quelques cartons. Le nôtre reste éloigné de la veine habituelle de l’artiste. -
Epouvantail de lunes
tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Pérathon. Avec son bolduc, signé de l'artiste, n°1. Circa 1970. -
Marché aux chameaux
Tapisserie d'Aubusson éditée par Jean Laurent. 1980. -
Soleil couchant
Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Four. N° 2/6. Circa 1970.Fumeron réalise ses premiers cartons (il en réalisera plus de 500) dès les années 40, en collaborant avec les ateliers Pinton, puis en recevant de nombreuses commandes de l'Etat, avant de participer à la décoration du paquebot "France". D'abord figuratif, et influencé par Lurçat, il évolue vers l'abstraction, avant de revenir vers une figuration colorée et réaliste à partir des années 80. Motif récurrent chez Fumeron, le soleil couchant (orange ou rouge) apparaît ici voilé derrière un rideau d’arbre, dans un carton proche de l’abstraction. -
Le rouge et le noir
Tapisserie tissée à Aubusson par l’atelier Braquenié. Avec son bolduc. Circa 1960. -
La rivière d'argent
Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Hamot d’après un carton de l’artiste. Avec son bolduc signé de l’artiste. Circa 1960. C’est en 1953 que Jean Picart le Doux offre à Chaye de devenir son assistant et l’encourage à créer des cartons de tapisserie : il réalisera alors de nombreux cartons bucoliques, mais aussi des vues de Normandie (Mont Saint Michel, Honfleur, régates,…), dont il est originaire. Carton classique de la veine naturaliste de l’artiste, spécialiste des enclos, haies et autres bords de rivière, animés d’animaux. -
Les oiseaux
Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Legoueix. n°4/6. Circa 1970.C’est en 1953 que Jean Picart le Doux offre à Chaye de devenir son assistant et l’encourage à créer des cartons de tapisserie : il réalisera alors de nombreux cartons bucoliques, mais aussi des vues de Normandie (Mont Saint Michel, Honfleur, régates,…), dont il est originaire. Oiseaux et treillage cohabitent ici dans une veine très proche de Picart le Doux. -
A chacun son soleil, à chacun sa lumière
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Tabard. Avec son bolduc. Circa 1960. -
Jumping
Tapisserie d'Aubusson tissée par l'atelier Four. Avec son bolduc signé, n°EA 1/2. Circa 2000.