Les nouveautés

Accueil|Les nouveautés

Artists -

Format -

Hauteur

Largeur -

Price -

  • Icare

       
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Tabard. N°1/6. Circa 1965.
     
  • Les grands pins

     
    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton pour la galerie Verrière. Avec son bolduc, n°1/1. Circa 1965.
                   
  • Pampa

     
     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Four. Avec son bolduc,n°5/6. Circa 1990.
        Si elle se revendique surtout comme sculptrice, Hedva Ser a aussi conçu quelques cartons tissés chez Four à Aubusson, qui évoquent des paysages atmosphériques (il y a aussi « Esterel », « Sinaï », « Océan »…), où nuages, reflets, ondes, dunes… sont restitués par des effets de matières  et de grosseur de points.  
  • Chant d'oiseaux

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée dans les ateliers Pinton. Avec un bolduc signé de l’artiste, n°1/6. Circa 1970.
        Spécialiste des bouquets, Odette Caly a réalisé de nombreux cartons pour Aubusson, tissés chez Pinton, Henry ou Hamot. Le décor végétal est ici animé d’oiseaux, dans une inspiration que n’aurait pas reniée Henri Ilhe.   Bibliographie : Caly, Publications filmées d’art et d’histoire, 1972      
  • Les eaux dormantes

     
    Tapisserie d'Aubusson tissée par l’atelier Pinton. Avec son bolduc signé de l’artiste, n°2/6. Circa 1970.
     
  • Le Hibou

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Avignon. Avec son bolduc signé de l'ayant-droit de l'artiste. 1959.
     
  • Paysage

       
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Legoueix. N°4/6. Circa 1970.
     
     
         
  • Faisan

     
    Tapisserie d’Aubusson tissée par l'atelier Pinton. Avec son bolduc signé. Circa 1960.
          Perrot commence son oeuvre de cartonnier à l’issue de la guerre, réalisant près de 500 cartons, avec de nombreuses commandes de l’Etat, la plupart tissées à Aubusson. Son style éminemment décoratif et chatoyant est très caractéristique :  un foisonnement de papillons ou d’oiseaux, le plus souvent, se détache sur un fond végétal, dans le goût des tapisseries mille-fleurs (dont s’inspirera aussi Dom Robert).   Sujet ornithologique, foisonnement des motifs inspiré des mille-fleurs médiévales, fond uni en aplat (en l’occurrence le fameux « bleu Perrot » comme le nommait les ateliers Pinton, utilisé de façon récurrente) font de notre carton un modèle exemplaire de l’art de Perrot à partir des années 60.   Bibliographie : Tapisserie, dessins, peintures, gravures de René Perrot, Dessein et Tolra, 1982 Cat. Expo. René Perrot, mon pauvre cœur est un hibou, Aubusson, Cité de la Tapisserie, 2023
     
  • Conte d'hiver

        Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Goubely. Avec son bolduc, n°2/4. 1963.     « Je me suis intéressé à la tapisserie surtout parce que j’étais excité par la technique du carton numéroté qui consiste à fabriquer une image colorée mentale à l’aide d’un code…..La tapisserie est un exercice essentiel. Telle que je l’ai pratiquée, c’est peut-être une volonté de mettre en question les moindres détails d’une oeuvre faite sur un plan à deux dimensions » (propos recueillis dans Cat. Exp. Prassinos, rétrospective de l’oeuvre peint et dessiné, Puyricard, 1983) Voilà pour le credo. C’est en 1951 que Prassinos réalise ses premiers cartons (la plupart, 150 environ, seront tissés par l’atelier Goubely) ; puis il rejoint l’A.P.C.T. (Association des Peintres-Cartonniers de Tapisserie). Après quelques cartons sur le thème des oiseaux, Prassinos, comme d’autres artistes proches de Lurçat pourtant (Matégot, Wogensky,…), orientera résolument la tapisserie vers l’abstraction, dans un style personnel fait de formes sinueuses imbriquées, dans des tons contrastés (souvent dans une gamme de couleurs noir-rouge-marron-beige).   "Conte d'hiver" est donc archétypique de l'oeuvre tissée de Prassinos, et ce d'autant plus qu'il  "illustre" ici une oeuvre de Shakespeare. S'il a réalisé de nombreux décors scéniques (notamment pour le TNP), le lien tapisserie-théâtre apparaît à l'artiste comme une évidence : "La grande tapisserie fait penser au théâtre....Elle est discours et solennité. Ce n'est pas un hasard si certaines de mes grandes tapisseries portent le nom de tragédies shakespeariennes" (cité dans Cat. Exp. Mario Prassinos, tapisseries monumentales, Arles, 1974).     Bibliographie : Cat. Expo. Prassinos, Tapisseries monumentales, abbaye de Montmajour, Arles, 1974 Mario Prassinos, œuvre tissé, La Demeure, 1974, n°53 Cat. Expo. Mario Prassinos, Tapisseries , Aubusson, Musée départemental de la Tapisserie, 1984, reproduit p.23 Cat. Expo. Prassinos, Tapisseries, Angers, Musée Jean Lurçat et de la Tapisserie Contemporaine, 1988
  • Fleurs

     
    Tapisserie tissée au CRECIT. Avec son bolduc. 1999.  
     
    Edmond Dubrunfaut peut-être considéré comme le grand rénovateur de la tapisserie belge au XXe siècle. Il  fonde un atelier de tissage à Tournai dès 1942, puis crée en 1947 le  Centre de Rénovation de la Tapisserie de Tournai . Il fournira pour différents ateliers belges (Chaudoir, de Wit,...) de nombreux cartons destinés notamment à orner les ambassades belges à travers le Monde. Par ailleurs, Dubrunfaut,  de 1947 à 1978, enseigne l’art monumental à l’Académie des Beaux-Arts de Mons, puis,  en 1979, participe à la création de la Fondation de la tapisserie, des arts du tissu et des arts muraux de Tournai, véritable conservatoire de la tapisserie en Wallonie. Son style, figuratif, usant de forts contrastes de couleurs souvent, est très inspiré par les animaux et la nature (comme Perrot par exemple, l'artiste a un fort tropisme pour l'ornithologie).   Tapisserie tardive de Dubrunfaut, à la veine décorative toujours renouvelée, tissée au CRECIT à Tournai, où l’artiste a donné de nombreux cartons à tisser.     Bibliography : Exhibition catalogue Dubrunfaut et la renaissance de la tapisserie, tableaux, dessins, peintures, Musée des Beaux-Arts de Mons, 1982-1983.  

Titre

Aller en haut